Retourner vivre à la campagne n’est pas un phénomène nouveau: c’était aussi la tendance jusqu’au début des années 1990. A l’époque déjà, la plupart des gens aspiraient à vivre à l’écart des grandes villes, dans une maison de campagne. Mais cette aspiration semble s’être renforcée ces dernières années avec la Covid-19, le confinement, le télétravail, et les prises de conscience induites par ces chamboulements.
Peu d’espace, beaucoup d’agitation, des prix exorbitants : de nombreux citadins songent ou quittent la ville pour partir vivre à la campagne.
L’année 2020 a fortement marqué les esprits des Français.e.s et notamment des citadin.e.s.
La crise sanitaire et les confinements successifs ont rebattu les cartes de l’imaginaire et des conditions de vie. D’une part la promiscuité propre au monde urbain pose problème. D’autre part le télétravail ouvre les portes d’une vie possible entre campagne et ville.
La crise sanitaire de la Covid-19 a réveillé des rêves de vie plus rurale, proche de la nature qui laissent de côté la densité et la pollution des grandes villes.
Grâce au télétravail, la proximité du lieu de travail perd de son importance. Par contre l’environnement de travail est important. Entre ceux qui se sont retrouvés à devoir travailler, sur la table de la cuisine, sur la table basse, ou encore dans la buanderie pour espérer avoir un peu de tranquillité, le rêve de grands espaces ou plutôt d’espace tout court s’est fait ressentir. Et si les prix de l’immobilier dans les métropoles ne cessent de grimper, en revanche ceux des petits villages apparaissent comme plus abordables.
De plus, en s’éloignant des grandes villes, la vie est plus accessible meilleur marché.
En vivant à la campagne on se rend compte que les agriculteurs sont nos voisins. On peut acheter en direct et tout le monde s’en retrouve gagnant! Le confinement, un accélérateur de la tendance « consommer local ». Avec les différentes pénuries entrainées par le confinement et par la fermeture des frontières, les consommateurs se sont rendus compte de l’intérêt des circuits courts et de proximité.
Pour certains habitants des grandes villes, le confinement semble avoir été une révélation : la campagne semblent pouvoir offrir un meilleur cadre de vie : une plus grande proximité avec la nature, proximité avec les agriculteurs, des loyers moins cher, la possible d’investir, de devenir peut-être même propriétaire.
Retour à la campagne, vers un exode urbain ?
Lors du premier confinement en mars 2020 de nombreux articles sont sortis pour décrire la fuite des citadin.e.s et plus particulièrement, des Francilien.ne.s. Des nombreux papier sont sortis pour parler « exode urbain » et de la « revanche des campagnes » dans les médias.
Cependant, ces histoires appartiennent à un phénomène temporel précis. De plus, le l’exode des parisiens décrit par les médias ne concernait pas tous les parisiens, mais uniquement les individus de la classe aisée qui ont à la fois la chance de pouvoir faire du télétravail et la chance d’avoir accès une résidence secondaire. Ce phénomène mit en lumière durant la pandémie n’est donc pas très représentatif.
Qu’en est-il pour nous ?
La situation de la Covid nous a sûrement poussés un peu dans nos choix de changer de vie et de s’installer à la campagne… Mais nous rêvions depuis quelques années de plus de nature alors le choix a été vite fait.
Et vous ? Plutôt ville ou campagne ? Est-ce que la Covid-19 a influencé vos choix ?
Retourner vivre à la campagne n’est pas un phénomène nouveau: c’était aussi la tendance jusqu’au début des années 1990. A l’époque déjà, la plupart des gens aspiraient à vivre à l’écart des grandes villes, dans une maison de campagne. Mais cette aspiration semble s’être renforcée ces dernières années avec la Covid-19, le confinement, le télétravail, et les prises de conscience induites par ces chamboulements.
Peu d’espace, beaucoup d’agitation, des prix exorbitants : de nombreux citadins songent ou quittent la ville pour partir vivre à la campagne.
L’année 2020 a fortement marqué les esprits des Français.e.s et notamment des citadin.e.s.
La crise sanitaire et les confinements successifs ont rebattu les cartes de l’imaginaire et des conditions de vie. D’une part la promiscuité propre au monde urbain pose problème. D’autre part le télétravail ouvre les portes d’une vie possible entre campagne et ville.
La crise sanitaire de la Covid-19 a réveillé des rêves de vie plus rurale, proche de la nature qui laissent de côté la densité et la pollution des grandes villes.
Grâce au télétravail, la proximité du lieu de travail perd de son importance. Par contre l’environnement de travail est important. Entre ceux qui se sont retrouvés à devoir travailler, sur la table de la cuisine, sur la table basse, ou encore dans la buanderie pour espérer avoir un peu de tranquillité, le rêve de grands espaces ou plutôt d’espace tout court s’est fait ressentir. Et si les prix de l’immobilier dans les métropoles ne cessent de grimper, en revanche ceux des petits villages apparaissent comme plus abordables.
De plus, en s’éloignant des grandes villes, la vie est plus accessible meilleur marché.
En vivant à la campagne on se rend compte que les agriculteurs sont nos voisins. On peut acheter en direct et tout le monde s’en retrouve gagnant! Le confinement, un accélérateur de la tendance « consommer local ». Avec les différentes pénuries entrainées par le confinement et par la fermeture des frontières, les consommateurs se sont rendus compte de l’intérêt des circuits courts et de proximité.
Pour certains habitants des grandes villes, le confinement semble avoir été une révélation : la campagne semblent pouvoir offrir un meilleur cadre de vie : une plus grande proximité avec la nature, proximité avec les agriculteurs, des loyers moins cher, la possible d’investir, de devenir peut-être même propriétaire.
Retour à la campagne, vers un exode urbain ?
Lors du premier confinement en mars 2020 de nombreux articles sont sortis pour décrire la fuite des citadin.e.s et plus particulièrement, des Francilien.ne.s. Des nombreux papier sont sortis pour parler « exode urbain » et de la « revanche des campagnes » dans les médias.
Cependant, ces histoires appartiennent à un phénomène temporel précis. De plus, le l’exode des parisiens décrit par les médias ne concernait pas tous les parisiens, mais uniquement les individus de la classe aisée qui ont à la fois la chance de pouvoir faire du télétravail et la chance d’avoir accès une résidence secondaire. Ce phénomène mit en lumière durant la pandémie n’est donc pas très représentatif.
Qu’en est-il pour nous ?
La situation de la Covid nous a sûrement poussés un peu dans nos choix de changer de vie et de s’installer à la campagne… Mais nous rêvions depuis quelques années de plus de nature alors le choix a été vite fait.
Et vous ? Plutôt ville ou campagne ? Est-ce que la Covid-19 a influencé vos choix ?
Marie C
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