Depuis, quelques temps, j’ai envie de vous parler davantage de minimalisme et de désencombrement.
D’ailleurs les deux vont souvent de pair. Et ils concernent bien plus d’aspects que l’on croit. Mais tout d’abord, pourquoi désencombrer ?
Publicités, médias, mode de vie… Tout nous pousse à acheter sans cesse plus d’objets et à accumuler chez soi le superflu. En effet, si l’on se limite aux objets de première nécessité, nous n’avons donc pas besoin d’un ordinateur, d’un telephone portable avec internet, d’autant de vetements qu’en peuvent contenir nos armoires, de consoles de jeux, etc. La liste des objets dont on peut se passer pour vivre est longue. Nous pouvons légitimement nous interroger sur le bonheur que cette accumulation d’objets nous procure, dans la mesure ou ils ne comblent pas un besoin mais plutôt une envie, souvent passagère, un désir vite chasse par le désir d’un nouvel objet.
Je vous suggère d’ailleurs de méditer, si c’est un pratique avec laquelle vous êtes familier vous le désencombrement.
Car c’est une démarche volontaire et réfléchie qui conduit à lâcher prise sur vos croyances, vos peurs, et à renoncer au superflu pour privilégier ce qui vous est essentiel. C’est un processus de développement personnel qui vous aidera à simplifier votre vie et surtout à évaluer vos véritables besoins pour enfin vous réaliser pleinement…
Qu’est ce qui nous encombre ?
Désencombrer le superflu
Dans la société actuelle, des objets de toutes catégories nous entourent et envahissent parfois notre quotidien. La societe de consommation nous pousse a en acheter toujours davantage, alors que peu d’entre eux nous sont réellement indispensables. Ainsi, on en vient a s’interroger sur l’interet de posséder tant d’objets apparemment inutiles.
Le superflu, ce sont les gadgets, les objets de plaisir factices, et de façon plus générale, tout ce qui ne nous apportent pas grand chose.
D’ailleurs dans notre société consumériste on a une fâcheuse tendance à tout collectionner. Les dates, les objets, les voyages. Le plaisir est bien souvent de collectionner en recherchant à en avoir toujours plus. Mais dans cette quête sans fin, on en oublie de profiter de ce qu’on a déjà.
Cela peut concerner des objets très différents pour chacun : certains objets de décoration, des livres, magazines, cd, vinyles, vidéos, dvd, des bijoux, par exemples.
Pour d’autres, ces mêmes objets peuvent servir quotidiennement et ne pas faire l’objet d’un désencombrement. C’est propre à chacun.
Désencombrer ce que nous n’utilisons plus
Par excellence : les vêtements et jouets d’enfants qui ont grandi. Mais aussi, ce peuvent être des vêtements qui ont rétréci, ou devenus inadéquats lorsqu’on a changé de taille.
Désencombrer ce dont nous n’avons pas vraiment besoin ou ce qui ne nous facilite pas tant la vie que cela
Ce sont tous les appareils et ustensiles que nous utilisons à l’occasion. On les a acheter en ayant de grands projets, en se disant, tiens super cet appareil à raclette en soldes, et si je faisais mes sorbets avec une sorbetière. Bref, il y a beaucoup de choses dans la cuisine qui me viennent pour imaginer cette catégorie. J’espère que vous voyez le genre également.
Désencombrer ce qui nous est peut-être utile mais nous force à gaspiller
Cela concerne, les produits jetable, à usage unique ou simili unique. Par exemple, les essuie-tout en papier ne sont pas indispensables, un torchon fait tout aussi bien l’affaire. Les mouchoirs en papier n’ont que l’avantage apparent d’être jetables, mais ils irritent, se déchirent, polluent; alors que le mouchoir en tissu est bien plus pratique. Les collants en nylon, de mauvaise qualité et s’abîment très rapidement sont également un bon exemple.
Désencombrer ce que nous gardons par attachement mais dont nous n’avons pas la conscience de la présence
Cela peut être également des documents d’archive. Par exemple, un certificat de saut en parachute »
Désencombrer ce dont nous avons peur de nous séparer
Cela pas être des cadeaux ou ce que l’on garde « au cas où ». Ce sont souvent des documents : articles, livres, brochures, dépliants. Nous avons pour la plupart, oublié que nous les avions, et si nous avions besoin de l’information, nous songerions d’abord à visiter internet, donner un coup de fil, demander à des amis, ou encore passer à la bibliothèque.
Cela peut être des outils comme la foreuse, ponceuse, etc. que l’on n’utilise pas une fois par an et que presque chaque ménage possède. Il est donc très facile de se les procurer en prêt. Cela peuvent être des vêtements de soirée, achetés pour un événement ponctuel il y a bien longtemps, qui ne servent plus, mais qui, peut-être un jour…. Ils peuvent servir à d’autres maintenant, et il sera toujours possible d’en avoir à prêter, ou au pire, d’en louer, si une nouvelle occasion devait se présenter.
Désencombrer aussi les sphères immatérielles
Lorsqu’on pense encombrement, on pense souvent à l’encombrement matériel, mais de nombreuses sphères de notre vie peuvent encombrées !
Cela peut aussi être de désencombrer votre emploi du temps… Reste-t-il du temps pour vos amis, votre famille, pour vous ? Ou votre répertoire téléphonique, c’est souvent un lieu qui accumule des numéros de personnes dont on ignore l’existence. Cela peut aussi être de désencombrer votre messagerie électronique, trop souvent inondées de spams et d’incitation à l’achat via des infolettres promotionnelles ? On en parle encore moins, car c’est un peu tabou, mais on peut également choisir sciemment de désencombrer ds relations familiales, amicales, sociales, fraternelles. Enfin, on le voit rarement comme un lieu où on accumule le superflu, et pourtant c’est un lieu qui mérite aussi grandement d’être désencombrer… Votre cerveau ! Est-il accueillant à l’imprévu, libre pour penser ou bien encombré par des tas de questions, de soucis, d’inquiétudes ? Si c’est le cas, penchez-vous sur la médiation, l’art, le théâtre, le journaling, pour évacuer le tout !
Depuis, quelques temps, j’ai envie de vous parler davantage de minimalisme et de désencombrement.
D’ailleurs les deux vont souvent de pair. Et ils concernent bien plus d’aspects que l’on croit. Mais tout d’abord, pourquoi désencombrer ?
Publicités, médias, mode de vie… Tout nous pousse à acheter sans cesse plus d’objets et à accumuler chez soi le superflu. En effet, si l’on se limite aux objets de première nécessité, nous n’avons donc pas besoin d’un ordinateur, d’un telephone portable avec internet, d’autant de vetements qu’en peuvent contenir nos armoires, de consoles de jeux, etc. La liste des objets dont on peut se passer pour vivre est longue. Nous pouvons légitimement nous interroger sur le bonheur que cette accumulation d’objets nous procure, dans la mesure ou ils ne comblent pas un besoin mais plutôt une envie, souvent passagère, un désir vite chasse par le désir d’un nouvel objet.
Je vous suggère d’ailleurs de méditer, si c’est un pratique avec laquelle vous êtes familier vous le désencombrement.
Car c’est une démarche volontaire et réfléchie qui conduit à lâcher prise sur vos croyances, vos peurs, et à renoncer au superflu pour privilégier ce qui vous est essentiel. C’est un processus de développement personnel qui vous aidera à simplifier votre vie et surtout à évaluer vos véritables besoins pour enfin vous réaliser pleinement…
Qu’est ce qui nous encombre ?
Désencombrer le superflu
Dans la société actuelle, des objets de toutes catégories nous entourent et envahissent parfois notre quotidien. La societe de consommation nous pousse a en acheter toujours davantage, alors que peu d’entre eux nous sont réellement indispensables. Ainsi, on en vient a s’interroger sur l’interet de posséder tant d’objets apparemment inutiles.
Le superflu, ce sont les gadgets, les objets de plaisir factices, et de façon plus générale, tout ce qui ne nous apportent pas grand chose.
D’ailleurs dans notre société consumériste on a une fâcheuse tendance à tout collectionner. Les dates, les objets, les voyages. Le plaisir est bien souvent de collectionner en recherchant à en avoir toujours plus. Mais dans cette quête sans fin, on en oublie de profiter de ce qu’on a déjà.
Cela peut concerner des objets très différents pour chacun : certains objets de décoration, des livres, magazines, cd, vinyles, vidéos, dvd, des bijoux, par exemples.
Pour d’autres, ces mêmes objets peuvent servir quotidiennement et ne pas faire l’objet d’un désencombrement. C’est propre à chacun.
Désencombrer ce que nous n’utilisons plus
Par excellence : les vêtements et jouets d’enfants qui ont grandi. Mais aussi, ce peuvent être des vêtements qui ont rétréci, ou devenus inadéquats lorsqu’on a changé de taille.
Désencombrer ce dont nous n’avons pas vraiment besoin ou ce qui ne nous facilite pas tant la vie que cela
Ce sont tous les appareils et ustensiles que nous utilisons à l’occasion. On les a acheter en ayant de grands projets, en se disant, tiens super cet appareil à raclette en soldes, et si je faisais mes sorbets avec une sorbetière. Bref, il y a beaucoup de choses dans la cuisine qui me viennent pour imaginer cette catégorie. J’espère que vous voyez le genre également.
Désencombrer ce qui nous est peut-être utile mais nous force à gaspiller
Cela concerne, les produits jetable, à usage unique ou simili unique. Par exemple, les essuie-tout en papier ne sont pas indispensables, un torchon fait tout aussi bien l’affaire. Les mouchoirs en papier n’ont que l’avantage apparent d’être jetables, mais ils irritent, se déchirent, polluent; alors que le mouchoir en tissu est bien plus pratique. Les collants en nylon, de mauvaise qualité et s’abîment très rapidement sont également un bon exemple.
Désencombrer ce que nous gardons par attachement mais dont nous n’avons pas la conscience de la présence
Cela peut être également des documents d’archive. Par exemple, un certificat de saut en parachute »
Désencombrer ce dont nous avons peur de nous séparer
Cela pas être des cadeaux ou ce que l’on garde « au cas où ». Ce sont souvent des documents : articles, livres, brochures, dépliants. Nous avons pour la plupart, oublié que nous les avions, et si nous avions besoin de l’information, nous songerions d’abord à visiter internet, donner un coup de fil, demander à des amis, ou encore passer à la bibliothèque.
Cela peut être des outils comme la foreuse, ponceuse, etc. que l’on n’utilise pas une fois par an et que presque chaque ménage possède. Il est donc très facile de se les procurer en prêt. Cela peuvent être des vêtements de soirée, achetés pour un événement ponctuel il y a bien longtemps, qui ne servent plus, mais qui, peut-être un jour…. Ils peuvent servir à d’autres maintenant, et il sera toujours possible d’en avoir à prêter, ou au pire, d’en louer, si une nouvelle occasion devait se présenter.
Désencombrer aussi les sphères immatérielles
Lorsqu’on pense encombrement, on pense souvent à l’encombrement matériel, mais de nombreuses sphères de notre vie peuvent encombrées !
Cela peut aussi être de désencombrer votre emploi du temps… Reste-t-il du temps pour vos amis, votre famille, pour vous ? Ou votre répertoire téléphonique, c’est souvent un lieu qui accumule des numéros de personnes dont on ignore l’existence. Cela peut aussi être de désencombrer votre messagerie électronique, trop souvent inondées de spams et d’incitation à l’achat via des infolettres promotionnelles ? On en parle encore moins, car c’est un peu tabou, mais on peut également choisir sciemment de désencombrer ds relations familiales, amicales, sociales, fraternelles. Enfin, on le voit rarement comme un lieu où on accumule le superflu, et pourtant c’est un lieu qui mérite aussi grandement d’être désencombrer… Votre cerveau ! Est-il accueillant à l’imprévu, libre pour penser ou bien encombré par des tas de questions, de soucis, d’inquiétudes ? Si c’est le cas, penchez-vous sur la médiation, l’art, le théâtre, le journaling, pour évacuer le tout !
Marie C
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