Hier, alors que nous étions en pleine session debroussailleuse vers 16 heures, deux e-mails de Kiloutou ont atterri dans ma boîte.
« Livraison prévue pour demain 9h. Paiement à effectuer. Garantie des fonds pour l’assurance… » Panique totale !!!
Le hic ? Je découvre ces mail de Kiloutou vers 18 heures 30, alors que leur agence était déjà fermée. Stress maximum. Et surtout, une incompréhension totale. Pourquoi ces e-mails maintenant ? Je n’ai jamais reçu de devis avant aujourd’hui à 16 heures. Comment puis-je être livré demain à 9 heures sans mon accord ? Je n’ai jamais fourni les informations bancaires…
Le prix de la location de la mini pelle sur 5 jours ? Tenez-vous bien, près de 1500 euros. Autant dire que j’ai eu besoin d’un moment pour digérer ça. Kiloutou m’a fait transpirer à grosses gouttes, entre la panique des livraisons et le choc de la facture qui m’a fait cligner des yeux plusieurs fois.
J’ai passé la nuit à gamberger, à me demander quelles étaient les différentes possibilités et ce qu’elles impliquent. À 6 heures du matin, j’ai pris mon téléphone pour les joindre dès l’ouverture. Malheureusement, le standard téléphonique raccroche automatiquement en raison d’un trop grand volume d’appels. J’ai tenté, une fois, deux fois, quinze fois en vain. À 7h30, j’appelle l’agence locale. Enfin, une voix humaine. Un représentant de Kiloutou répond calmement et démêle la situation. Apparemment, c’est la procédure normale. Ils ne donnent pas de nouvelles avant 24 heures avant la livraison. Je suis resté courtois car la personne était assez sympa. Mais bon, nous n’avons pas la même définition de « 24 heures ».
Bref, ce fut un soulagement total après cet appel. Dans les heures qui ont suivi, notre travail sur le terrain a repris, et le bruit des machines a remplacé le bourdonnement stressant des questions sans réponses de la nuit précédente. Une aventure avec Kiloutou, pleine de rebondissements et de leçons, mais au final, tout est rentré dans l’ordre.