Grenier, cave, débarras, garage : le principe est le même. À savoir une pièce dédiée au bordel, et généralement à l’accumulation d’objets dont on ne se sert plus.   Ce type de pièce est revélateur de notre surconsommation.

Les garages, sont symptomatiques de notre société de surconsommation qui croule sous les objets. 

D’après Regina Wong, auteure du plaidoyer minimaliste « Faite de la place » (Belfond, 2018), nous sommes même « noyés sous la profusion ». Dans son livre, elle cite notamment une étude réalisée par les chercheurs du département d’anthropologie de l’université de Californie, à Los Angeles. 

Dans celle-ci 32 familles américaines ont accepté d’ouvrir leur porte. Ces dernières possédaient en moyenne 39 paires de chaussures, 90 DVD, 212 CD, 139 jouets et 483 livres et magazines. Neuf sur dix avaient tellement d’affaires qu’elles en stockaient une partie dans leur garage. Et les trois quarts de ces garages étaient tellement pleins qu’ils ne pouvaient même plus accueillir de voiture ! 

Quel est l’intérêt de stocker ce mini-mixeur jamais utilisé? Où encore ces cours de fac qu’on ne relira jamais et tous ces chargeurs orphelins depuis longtemps de leur téléphone portable ? 

Où toute cette accumulation nous mène? Nulle part… Si ce n’est à plus de dettes bancaires dues à l’achat de biens matériels et à leur stockage, à une empreinte CO2 plus importante et à plus de stress engendré par la gestion de ces biens.

Face à ce constat, vous voulez cesser ce schéma ?
Voici quelques articles pour vous y aider :

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