Vous démarrez des travaux de rénovation dans votre logement ou de construction ?
Et vous aimeriez par la même occasion prendre soin de votre santé et celle de vos proches, tout en préservant l’environnement et les ressources énergétiques de la planète ?
C’était également notre intention lorsqu’on s’est lancés dans le projet. Hélas, lorsque l’on choisit de se tourner vers l’écologie et l’habitat sain pour construire, isoler, équiper une maison de la façon la plus naturelle possible, il semble parfois difficile de choisir parmi le matériaux proposés sur le marché.
Consommation d’eau et d’énergie, émission de gaz à effet de serre, déchets, pollutions diverses… Tous les produits ont des impacts.
À ce jour, aucune échelle de référence n’existe pour classer les matériaux de construction ou de rénovation selon des critères environnementaux.
À défaut de réels indicateurs, il peut être judicieux de privilégier les produits les plus performants. En effet, ils permettront de limiter au mieux les impacts environnementaux du bâtiment par la suite.
De nombreux matériaux de construction ou de rénovation peuvent contenir des substances toxiques irritantes, allergisantes ou cancérigènes. On retrouve également des composés organiques volatils (COV) de nombreux produits.
LE POINT SUR LES ISOLANTS BIOSOURCÉS
Ce sont des isolants issus de matières premières renouvelables d’origine végétale ou animale : bois, paille, liège, chanvre, lin, plume, laine... Il est plus exact de les qualifier de produits biosourcés plutôt que de produits naturels, car ils ont fait l’objet de transformations et contiennent souvent une part de matériaux non biosourcés ou des additifs nécessaires à leur conservation.
Pour le moment, aucune échelle de référence n’a pu être mise en place pour classer ces produits.
Cette étiquette signale le niveau d’émission de COV de façon simple et lisible. Elle est obligatoire pour les produits de construction tels que les isolants, revêtements des murs, sols ou plafonds, vernis, colles, adhésifs.... Sur l’étiquette, le niveau d’émissions du produit est indiqué par un pictogramme accompagné d’une lettre en grand format. L’étiquette précise le niveau d’émissions de COV du produit. Elle traduit le niveau via une échelle de 4 classes. La classification va de A+ (les moins émetteurs) à C (les plus émetteurs). Cette étiquette n'a pas vocation à décrire l'impact environnemental, écologique et / ou carbone du produit visé, ni même son origine. Mais il permet ainsi de s’orienter vers des produits moins nocifs pour la santé.
Par ailleurs, il existe des normes relatives aux mesures des émissions, notamment pour les COV, et au comportement des produits. Elles permettent d’évaluer la contribution des isolants à la qualité sanitaire des bâtiments. Mais il n’existe pas de référentiels permettant d’affirmer qu’un produit est sain ou non.
Sachez enfin que si les isolants sont mal mis en œuvre, pas adaptés ou si la ventilation est mal conçue, des problèmes de pollution peuvent apparaître ou s’aggraver, contribuant à la dégradation de la qualité de l’air du logement (des moisissures peuvent ainsi se développer sur des isolants sensibles à l’humidité).
Le Monopoly, jeu de société classique auquel presque tout le monde a joué, nous plonge…
Dans notre société moderne, nous sommes constamment bombardés d’images et de messages qui nous poussent…
Grenier, cave, débarras, garage : le principe est le même. À savoir une pièce dédiée au…
À la recherche du parfait évier sous plan Lorsque j'ai entamé la conception de ma…
Le minimalisme ce n'est pas seulement un intérieur vide et dénué d'objet. C'est aussi réduire…
Simplifier sa vie apporte un sentiment d'équilibre, de liberté et de joie. Lorsque nous commençons…